Dans le cadre du hors-série du printemps 2021 du magazine Horizons Publics, j’ai co-écrit, avec trois camarades redirectionnistes - Margot Boitel, Jérôme Santarini et Joseph Sournac - un article dédié à l’enquête menée pour la Ville de Grenoble au sujet de la redirection écologique des piscines municipales. En voici l’introduction :
« Selon une étude désormais bien connue publiée par Carbone 4, l’empreinte carbone annuelle d’un Français était de 10,8 tonnes EqCO2 en 2017. Pour respecter l’Accord de Paris et rester sous les 2° C de réchauffement climatique, cette empreinte doit atteindre 2 tonnes d’ici 2050. Problème : les émissions des institutions publiques, comprises dans le calcul de l’empreinte individuelle, comptent aujourd’hui déjà pour pratiquement deux tonnes par personne. Bien consciente de l’enjeu, la ville de Grenoble tente de « faire sa part » de gros colibris. Toutefois, à trop diminuer les émissions municipales, c’est le service public et les populations les plus démunies qui trinquent ! C’est pourquoi l’enquête que nous menons auprès de la mairie de Grenoble tente d’apporter une réponse pratique à la question suivante : l’impératif écologique peut-il aller de pair avec une certaine justice sociale ? »
Pour lire l’article et le numéro complets :